Sans commentaire, sans analyse deux discours clés, sans correction de syntaxe. "discours de Gilles Chabert"
"Remerciements... Le grand Bornand entre tout à fait dans ce qui va être annoncé tout à l'heure c'est la diversification. Pourquoi ? parce que le Grand Bornand c'est avant tout un village
agricole ou on comptait autant de vaches que d'habitants, et puis ils se sont diversifiés, en faisant du ski, le ski alpin et le ski de fond. On fournit même un certain nombres de champions en Equipe de France, c'est pas Stéphane Deloche qui me dira le contraire... Malheureusement aujourd'hui le ski est devenu presque un gros mot. Laurent a dit qu'il a corrigé ce gros mot pour en faire une dynamique. J'ai l'impression que c'est redevenu un gros mot et au Gouvernement aussi car le gouvernement a dit il faut diversifier. Alors il y a diversifier dans la diversité, je ne sais pas ce qu’il va en ressortir mais on va essayer de diversifier. Mais il (le Gouvernement) ne parle plus de la neige, pour lui on a l’impression que pour lui la neige fait partie d’un temps ancien, que certains vieux comme moi on bien connu la chose et que maintenant il faut penser a autre chose… On se demande même si au niveau de gouvernement... ça me fait penser au sel, pour conserver le sel, si on salait le sel ce serait peut être la solution... mais moi dans le diversifier je pense que le ski c'est le ski, le reste.... ma foi j'y reviendrai. Pour les écologistes eux il faut faire du tourisme 4 saisons ; Bon Dieu toute ma vie je me suis battu pour essayer d’en faire 2 et de les faire à peut près raccord et maintenant on passerait de 2 a 4. Il faudrait qu’ils m'expliquent comment au mois de novembre quand il y a le brouillard et que c'est la période ou on va au cimetière comment on va faire venir les âmes (tout le monde applaudit et rit)... Il y a eu un reportage a FR3, André Perillat Amédée en parlait tout a l’heure, sur la manifestation qu’il y a eu sur les Chaves, chez les Cluses, j’ai découvert quand même, j'ai été presque choqué, quelqu’un qui mange avec la neige, trouvait que le ski c’était fini… c'est facile on met un coup de crayon sur 10 milliards d’euros… nous on va prendre un peu notre temps avant de mettre ce coup de crayon et je crois que les hauts savoyards présents ne sont pas prêts a mettre un coup de crayon sur 10 milliards d’euros,
Ni Didier Thévenet maire du gd Bo, pardon de la Clusaz, mais c'est pareil maintenant qu'ils s'entendent...
Le ski c’est fini faut passer à autre chose... Laurent Reynaud aurait essayer d'arranger en disant le tout ski c’est fini mais sans le ski tout est fini...
Ce qui me gène c’est qu'aujourd'hui, je reviens a cette diversification et ce que j'ai peur c'est que cette diversification entraine la désertification.
Pour moi la neige c’est un véritable aimant, on n’a pas besoin d’avoir ni prescripteur ni promoteur, on en deux, c’est Evelyne Delhia et (un autre nom) … ils disent après demain il va neiger, on ne dit rien d’autre, et les téléphones sonnent "est ce que je peux réserver demain ou après demain ?" le lendemain il neige les gens des vallées montent, Annecy est aspiré par le grand Bo et la Clusaz mais sans qu'on ne leur ai rien dit, même qu'on n'aurait pas dit qu'on ouvrait pas , ils viendraient car ils savent qu’il y a de la neige et la ils tendent les sous, c’est ce geste fabuleux … (il mime) pour dire prenez les miens prenez les miens… C’est pas en installant une tyrolienne ou une luge sur des rails qu'on’ va recréer l’aimant qu’on a avec la neige.
Alors heureusement Laurent a concocté un plan.
La part que Laurent réserve a la neige de culture, aux réserves collinaires dans ce nouveau plan, on peut vous dire une chose on ne vous laissera pas tomber dans cette stratégie qui est la notre depuis un bon nombre d’année et qui récolte quelques petits bénéfices." Discours de Laurent Wauquiez : "Tout ce qu'on a construit on ne l'aurait pas fait sans Gilles, Gilles est pour moi un ami et un vrai ami, quand ca va il vous le dit mais quand ca ne va pas il vous le dit aussi. Je veux lui témoigner mon amitié et ma reconnaissance. Ce plan on le doit a quelques personnes, Gilles, Martial (le temps ou il était Conseiller régional) Emilie et Fabrice... Le plan montagne on l'a fait ensemble. Pour moi c'est fondamental que la Région travaille avec les Départements, que dans ce plan montagne c'est pas le plan de la Région c'est le plan qu'on fait tous ensembles. S'il n'y a pas les départements, les communauté de commune, si y a pas vous au niveau des stations de ski, les acteurs économiques, on ne fait rien de tout ça. C'est notre action commune. Avec Hervé aussi, Hervé a beaucoup beaucoup travaillé. Martial je suis tellement heureux de te voir a la tête du département de la Haute Savoie, la seule chose qui m'inquiète c'est qu'il travaille tout le temps. Bravo Martial pour ton énergie. Concernant les conseillers régionaux, j'ai laissé Gilles faire les listes, je n'ai plus que des conseillers régionaux de montagne sur mes listes, y a plus que ca, soit ca, soit des moniteurs de ski. En deux temps trois mouvements, je suis fiers de mon équipe. Je veux tous les citer, Henry, Nathalie d'Isère, Antoine un modèle, champion de ski, entrepreneur, ouvert, modeste, je suis très fier d'avoir Antoine, Sébastien d'Auvergne, Florence du chablais, Christophe au côté de Martial, Jean Yves, personnalité très emblématique, très courageux en période de covid, Catherine, Séverine, mot spécifique pour Emilie Bonivard, députée de Maurienne, un cœur, un gros tempérament, Sylvianne notre sénatrice... un petit mot sur nos parlementaires, Christelle bravo pour être la l'Assemblée, associé Loïc de ton implication, et Martine sénatrice de Savoie...
Enfin Jean luc (Boch), Eric (Brèche), Alexandre (Maulin), bravo !!! il ne faut pas oublier qu'au début y'avait pas de plan prévu au gouvernement, il n'y avait rien qui était prévu, on y est allés l'arracher tous ensembles, en étant très soudés c'est une épreuve qui nous a renforcés.
J’y associe nos représentants de nos clusters, nos entreprises, parce que les emplois sont importants, Le gouvernement n'avait pas tout compris au début mais l'emploi en montagne c’est 150 000 emplois et dans la vallée c’est 120 000.
La crise nous a appris, si la montagne va mal, c’est toute la région AURA et toute la France qui va mal. Il ne l’avait pas compris au gouvernement.
Vous gênerez 5 a 7 milliards d’euros d’activité pour notre pays a travers ce qu’apporte la montagne à notre territoire
Je sais pourquoi je vous défends, c’est nos emplois, c’est l’avenir de nos enfants,
On peut vous applaudir.
On vient à peine d'être élus et c’est un des premiers plans qu’on présente. Pour moi c’est un symbole,
Le symbole de la conscience qu'on a créé ensembles,
Fidélité, amitié, le fait de faire les choses sur la durée, ca compte pour moi, je vous avais promis qu’on travaillerait sur la montagne, vous m’avez fait confiance, on a construit ensemble, pour moi c’est un signe très fort. A peine la nouvelle majorité régionale installée a la région on présente un des premier plan ; c'est notre nouvelle ambition pour la montagne.
Je le fais aussi car ne ne veux pas qu’on reste avec les deux années qu’on vient de vivre.
On a fait le gros dos, on a enduré, on a fait preuve de résilience, moi je déteste ce mot, mais la montagne c’est pas ca,
Chez nous on est conquérant, on aime aller de l'avant, on aime avoir des projets, on aime se remettre en question, j'ai beaucoup de respect pour cette capacité que vous avez, on aime le travail et l'effort.
Ce que je voulais c’est que tout de suite on reparte de l’avant et qu’on dise on croit en l'avenir, on croit dans notre montagne, on en est fière.
Ma plus grande fierté c’est que notre région est la région de la montagne.
Et ca nous donne une responsabilité, chez nous on doit la défendre la montagne, la porter, le promouvoir, c’est l'identité de AURA dans la montagne et nul par ailleurs.
L’objectif de ce plan c'est de tout de suite redresser la barre et montrer aux acteurs de la montagne et à notre pays, qu’on est bien là, bien vivant et qu’on a plein de choses à proposer.
Le 1er plan montagne a généré 500 millions de projets sur la montagne
On a accompagne ca d’un plan d’urgence qu’on a porter ensemble avec les départements et qui a permis d’amener 400 millions d’euros de soutien aux acteurs de la montagne avec des mesures les plus pragmatiques possibles.
Maintenant ce qu'il faut c’est qu'on avance a nouveau en étant capables de tenir notre trace, pas se laisser dicter ce qu’on doit faire et en même temps de montrer qu’on se pose les questions et qu’on est capables d'aborder des nouveaux sujets et des nouveaux périmètres : ce que ca veut dire très clairement c’est que ce plan est un plan pour le ski, c’et un plan pour la neige c’est un plan pour le tourisme d’hiver.
Et tant que je serai président de notre région et tant qu’on sera tous ensemble ca ne sera jamais un gros mot, le ski est une fierté la neige est une fierté.
On a des gens dont l’emploi et l’avenir de leur famille dépendent de ca, dans notre région on soutient l’activité du ski et on continuera à le faire avec fierté et honneur
(Applaudissements)
A côté de ca on veut montrer qu'on est capables de mener des nouveaux chantiers des nouveaux terrains.
La diversification d’été, on voit en suisse et en Autriche ce que ca peut amener, cet été dans les grisons j'ai vu sur le vtt, intéressant, dans le chablais, dans les Bauges, chez moi en Auvergne on a largement la capacité de faire la même chose
et d'offrir les mêmes parcours. Dans les dolomites ils ont mis en place des parcours de trails qui attirent massivement, on peut faire la même chose.
L’objectif pour nous on tient solide sur nos fondation le ski et c’est ca qui nous donne l'énergie l'identité qui est la neige et le ski et on va travailler sur d’autres choses qu’on rajoutera pour conforter notre évolution et notre dynamisme.
Dans ce cadre là je souhaite qu’on se fixe un objectif avec notre méthode a nous, faire des Alpes Française et de la montagne AURA la première montagne durable d'Europe.
C’est quoi ?
On a en face de nous des gens qui expliquent que la montagne il ne faut plus y aller que ça doit devenir un lieu fermer, y'a plus de tourisme, on partage plus, que les famille ne doivent plus venir, qu’on met des enclos et des barrières a l’entrée et plus personne n’entre.
Ca c’est la vision portée par les sectaires.
On doit porter que la montagne nous on l'aime, qu'elle est portée par des gens qui y vivent, qui ont grandi qu'il veulent que leurs enfants ne se disent pas qu'ils doivent détruire ce qui les a fait vivre et qui fait que je veux rester là.
Ce qu’on veut c’est une montagne a la fois vivante et dans laquelle on montre qu'on peut faire ca tout en respectant l’environnement.
Et faire ca c'est fondamental pour l'avenir de notre pays. On doit faire ca pour montrer que l'écologie n'est pas un parti politique et que c'est du bon sens, du pragmatisme, pour nos agriculteurs, il faut arrêter de donner des leçons a tout le monde et en même temps protéger notre montagne, la faire partager, la faire grandir la protéger.
C'est des projets que je souhaite qu'on porte ensemble et je souhaite que ce soit :
le premier volet de notre plan ; montrer que chez nous en montagne on peut s'orienter vers des stations qui seront 0 émission de C02.
Porter ensemble en commun qu'on pourra avoir des dameuses hydrogène, qui permettront d'assurer une vraie mutation sur la qualité de l'air qu'on peut avoir sur nos territoires et optimiser l'Energie. On va mettre beaucoup d'argent nous pour sortir ce projet, c'est un projet qui motive beaucoup, on l'avait vu on congres DSF.
Travailler sur un projet, c'est Gilles qui l'a proposé c'est pour dire... se dire que sur les éclairages de nos stations, comment on peut basculer sur des lampes LED, moins consommatrices d'énergie, plus respectueuses de l'environnement. On peut travailler, et vous avez été nombreux à le faire sur les nouvelles productions d'Energie, sur l'eau des canalisations qui descend aux stations.
Installer sur nos enneigeurs des panneaux photovoltaïques qui permettraient ainsi d'avoir des enneigeurs 0 émission de co2 avec 100% d'énergie verte. Je suis convaincu que les gens qui viennent chez nous apprécieront cette démarche et viendront dans notre montagne pour le ski, pour la qualité de l'accueil, pour la beauté de nos montagnes et aussi pour cette capacité à proposer tous ensemble qu'on s'oriente vers un chemin ou peut montrer qu'on peut concilier l'activité de l'hiver et en même temps une logique plus respectueuse de l'environnement. Ce sera le premier volet ensemble et sur lequel l'objectif est d'affecter 10 a 20 millions d'euros.
Deuxième volet, ; les activités de diversification hiver comme été.
j'ai souhaité que les entreprises du cluster montagne et OSV soient là.
vous avez des gens qui inventent tous les jours des produits qui permettent de diversifier l'hiver comme l'été. Qui permettent d'avoir une activité de ski qui soit différente, qui permettent de travailler sur des produits ludiques qui sont différents, qui permettent d'avoir des nouvelles choses hiver comme été. Sur ces projets, vous êtes nombreux à nous proposer des choses et on a réserve une somme qui sera de 15 millions d'euros qui va être sanctuarisée à cette diversification.
Troisième volet c'est la neige,
On ne lâche pas sur le sujet, il faut qu'on continue à rattraper notre retard, on a considérablement progressé ; on avait 40% de nos pistes qui étaient couvertes en enneigeurs là ou l'Autriche, la Suisse et l'Italie étaient à 80%.
De mémoire je parle sous le contrôle de Gilles, on devrait avec tous les projets qui ont été légèrement retardés mais c'est en train de sortir, aller vers un taux de couverture qui serait de 70% (je parle sous contrôle de Gilles)... mais il faut qu'on continue avec des appareils qui sont moins consommateurs, d'énergie, moins consommateurs d'eau, plus respectueux, plus adaptés, continuer à poursuivre nos projets.
On a prévu une somme de 30 millions d'euros qui nous permettra de vous accompagner (Martial Saddier disait en début de séance que le Département de la Haute Savoie abondera d'autant).
J'en profite pour dire tout mon soutien aux projets qui sont portés par la Clusaz (applaudissements).
Quatrième projet et vous savez à quel point j'y tiens, la Savoie et la Haute Savoie les ont toujours soutenus, il faut former les nouvelles générations. Le ski ne peut pas devenir un sport de milliardaires. c'est pas les valeurs du ski Français ; nos valeurs à nous c'est d'avoir des lumières dans les yeux et de voir des gamins qui viennent de milieux modestes et qui ont découvert le ski grâce au classes neige et qui ont adoré ca. On doit garder un ski populaire. Qu'il y ait un enfant sur deux en AURA qui n'a jamais monté sur une paire de ski c'est pas possible. A travers le programme que Gilles a mis en place avec Fabrice on a amené 21000 gamins sur des classes neige en finançant le coût du transport. Ce qu'on souhaite c'st intensifier et se mettre en partenariat avec les départements, pour le moment on ne finançait que le primaire, on va s'étendre au secondaire. Les départements seront sur les collèges, nous sur les lycées. Offrir a nos enfants la chance de vivre l'expérience de la neige. on va mettre 6 millions dessus, j'ai besoin de votre soutien. Vos OT doivent avoir faire un démarchage, on doit contacter les professeurs,, on doit être pro actifs, on n'a pas le droit de se décourager. Les classes neige s'est l'avenir de la montagne.
Cinquième volet ; c'est l'accompagnement sur les projets immobiliers et particulièrement sur les centres de loisir et centres de vacances.
Ca suppose des opérations onéreuses, acheter de l'immobilier qui est cher pour éviter que ce soit converti et vendu à la découpe, opérations ou vous avez notre soutien, on sera à vos cotés également pour garder ces centres, on a eu des conversations avec Nicolas (Rubin) dans le chablais et Martial, des conversations sur la tradition des centres de vacances. On doit continuer à rendre vivante et active cette tradition.
Sixième volet ; les petites stations. On aime les grosses locomotives puissantes mais on doit garder une vigilance sur nos petites stations, les Bauges, le Vercors , l'Ain. On doit préserver les projets des petites stations.
Septième volet, les ascenseurs valléens :
c'est vraiment la mutation de ce qu'est l'accès aux stations de ski de demain. on a vendu des stations ski au pied qui supposaient que les voitures montent jusqu'aux stations, les Suisses et les Autrichiens ont gardé le concept stations de ski basses avec le chemin de fer. On doit diversifier notre approche; Les ascenseurs valléens sont vraiment cette nouvelle approche. Ils permettent de garer les voitures en bas, d'avoir un accès qui permet de monter les gens dans un contexte différent. C'est une réponse aussi a la problématique d'embouteillages mais ce sont des projets colossaux qui nécessitent des investissements énormes.
On a mis beaucoup d'argent dessus, je précise que c'est hors le contrat de plan de la région c'est a dire on mettra un certain nombres de projets dans le contrat de plan de la région - si je mets le funiflaine dedans il n'y a plus d'argent pour qui que ce soit donc on le garde dans le contrat de plan et de la région -.
A côté de ça on a de l'argent qu'on mettra sur le projet des ascenseurs valléens qui est pour nous une capacité a proposer une vraie diversification. J'aime beaucoup le projet entre Orelle et Val Tho... très beau symbole. On a des projets partout, c'est vraiment important.
Fabrice sera charger de toutes ces questions valléennes sous le contrôle du patriarche Gilles.
En plus j'en profite pour annoncer que c'est Fabrice qui va prendre la présidence du CRT car je suis attaché a ce que ceux qui font l'essentiel de l'activité de tourisme, c'est vous donc c'est logique que le président du CRT soir Fabrice.
Au total 100 millions d'euros, la réalité c'est que c'est beaucoup plus car dans le contrat de plan et de la région on va mettre des projets de montagnes. Car on a côté tout un soutien économique à nos entreprises . Car la partie agricole vient se rajouter. L'objectif n'est pas de rajouter des sommes aux sommes l'objectif est que vous sachiez qu'on a la boite a outils pour répondre. La démarche vous la connaissez, on travaille ensembles. Ca ne part pas de Lyon je déteste ca, ca part de vos projets à vous et nous on essaie de s'adapter. Vous en discuter avec vos conseillers régionaux de terrain , vous savez qu'au dessus de 1000 mètres vous prenez l'avis de Gilles . Et on essaie d'avancer ensemble pour vous donner de la visibilité et on vous aide pour avancer tels ou tels projets on retient. Je veux rajouter 2 choses :
je n'ai pas parler d'agriculture, car je la traite par ailleurs indépendamment. Mais attention une montagne sans agriculture est une montagne qui est finie. Le pastoralisme n'est pas possible avec la multiplication du loup ! ca ne ne peut pas marcher (applaudissements) vous avez tout mon soutien
attention, quand on fait des projets, il faut me faire travailler des entreprises françaises. Plus d'entreprises italiennes par exemple pour les enneigeurs (applaudissement).
Ya des choses qui comptent plus que le reste, y'a des histoires d'amitiés et de fidélité. Vous avez été a coté de moi pour les élections... merci."
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